Luc Bigé

 Luc Bigé Dr. es Sciences (biochimie), j’ai passé quelques années à pister l’inhibiteur d’enzyme dans des laboratoires de recherches (INRA, Université de San Francisco)… avant de m’interroger sérieusement sur le " pourquoi " plutôt que de rester confiné au seul " comment ". Après avoir publié plusieurs livres (l’Homme réunifié, la Symphonie du Zodiaque) autour de ce fameux " pourquoi ", je suis maintenant consultant auprès d’une agence de communication où j’analyse, à l’aide de toute une panoplie d’outils symboliques, l’identité de Marques. Pour un C.V. plus complet.

 

Comment j'en suis arrivé là ! !

J'eus la chance, dans mon adolescence, de suivre un double itinéraire. Tout en préparant une thèse de doctorat en biochimie, thèse qui devait me conduire plus tard vers la recherche fondamentale, je m'intéressai de près au symbolisme de l'astrologie. J'apprenais ainsi deux langages, et par conséquent deux formes de pensée : celui de la science avec sa méthodologie rigoureuse, l'usage du doute systématique comme garde-fou contre les interprétations faciles, l'importance du dialogue sans cesse renouvelé entre la théorie et la pratique. Je réalisai en même temps le gouffre qui sépare la science de sa médiatisation, et à quel point les chercheurs sont souvent - et à juste raison - beaucoup plus prudents que l'homme de la rue en ce qui concerne ce lieu commun qui consiste à croire que tous les problèmes seront résolus par plus de techniques, plus de connaissances, et plus d'argent pour alimenter le processus de découverte. Si tel était vraiment le cas le cancer devrait être éradiqué depuis longtemps de la surface du globe.

La seconde forme de pensée s'est progressivement développée par l'apprentissage puis l'emploi du langage astrologique. Je découvris alors que ce système n'était pas simple superstition mais reposait sur des "lois". Et surtout qu'il donnait des résultats convaincants lorsque ces "lois" étaient appliquées. Nous écrivons "lois" entre guillemets car elles ne sont probablement pas formulables en termes mathématiques comme le sont les lois de la physique par exemple.

Longtemps je me demandai s'il était possible de créer des ponts entre ces deux domaines de la connaissance. Déjà ceux-ci étaient - et sont encore ! - inexistants dans le simple dialogue entre scientifiques et astrologues. Lorsque je m'aventurai à parler astrologie dans le laboratoire où je travaillais je fus, au mieux, reçu avec une indifférence polie. Je réalisai alors à quel point ces attitudes de refus, voire ces réactions émotionnelles vives contre une supposée "superstition", cachent en réalité des peurs face à un monde inconnu qui remet bien souvent en cause sept ans d'études universitaires destinées à spécialiser l'étudiant dans un domaine de recherche extrêmement pointu. Sans parler évidemment des scientifiques qui risquent leur carrière si jamais, d'aventure, ils prennent position en faveur d'une quelconque science dite "ésotérique". Le scientifique est prisonnier de son image et de sa formation, l'inventivité est sur des rails, sans doute sont-ce les signes avant-coureurs d'une crise future.

Une porte s'ouvrit lorsque J.P. Garel, directeur du Centre de Biophysique de Clermont-Ferrand, me proposa de participer à l'organisation d'un mini-colloque sur le thème "cerveau gauche : science et société en sont-elles victimes ?". La mode était alors à l'étude du cerveau et de ses mécanismes, plusieurs ouvrages venaient de sortir sur la question avec , en gros, deux écoles de pensée : Celle dont le représentant le plus connu est J.P. Changeux qui, dans Matière à pensée défend la thèse d'une origine biologique des processus mentaux. L'autre courant, représenté par le prix Nobel de médecine John Eccles, soutient que le cerveau n'est qu'un intermédiaire entre le monde abstrait des idées et le monde concret de notre vie quotidienne. Il se comporterait comme un récepteur radio, captant les idées "qui sont dans l'air".

Quelque soit la nature de la réalité, ces présupposés renvoient au fonctionnement du cerveau humain. Le mode gauche privilégie un temps linéaire, le mode droit opte pour une vision globale non séquentielle. Les idées présentées ici s'inspirent de ce dernier mode de perception d'une réalité peut-être à jamais inconnaissable en soi.

Lucbige@aol.com

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Bige Luc
Né le 22 11 1958 
à Tours

                    

25 Square des Moulineaux
92100 Boulogne
Tel: 01 49100041

 

Etudes Universitaires

1982-1985 : Thèse de doctorat (mention T.B.)

"Purification et caractérisation des inhibiteurs musculaires des cystéines protéinases lysosomales". I.N.R.A. de Theix.

1981-1982 : D.E.A. de sciences alimentaires,

I.N.R.A. de Theix.

1980-1981 : Mathématiques appliquées à la Biologie.

Université de Lyon I.

1978-1980 : Maîtrise de Biologie Moléculaire,

Université de Clermont II.

      Certificats de:

Biologie Moléculaire
Biochimie Structurale et Métabolique
Microbiologie
Psychophysiologie

1976-1978 : Deug de Biologie,

Université de Clermont II

 

Autre formation

09/1989-03/1990 : Stage de communication d'entreprise
                                       La Souche, Montléry.

 

Publications scientifiques.

Bige L., Ouali A, Valin C. Purification and characterisation of a low molecular weight cysteine proteinase inhibitor from bovine muscle (1985) Biochem Biophys. Acta 843 269-275

Ouali A., Bige L., Obled A., Lacourt A., Valin C, Small and hight molecular weight proteinases inhibitors from bovine muscle (1985). Proc. Int. Sym; on cysteine proteinase and their inhibitors, Portoroz, Yougoslavia, 545-554.

Bige L. Application des cristallisations au chlorure de cuivre à l'analyse globale de l'eau: données expérimentales in L'eau vecteur d'information (15 auteurs) (1988), ed. Centre de Biophysique.

Bige L., Garel J.P. Experimental evidence of biophysical states of water by means of thesigraphy, a global analytical method (1990)
International congress on ultra low doses, Bordeaux, France.

Bige L., Garel J.P. La thésigraphie (1990) in Sciences du vivant Vol. I.


Ouvrages publiés :

  • La Symphonie du Zodiaque, éditions St Michel (1993)
  • L'Homme-Réunifié, éd. le Rocher, collection "sciences du troisième millénaire" (1995)
  • L’entreprise Icarienne (Presses du Management, à paraître avril 2000)
  • Dialogue des planètes (Editions de Janus, à paraître Octobre 1999)


Autres textes :

  • A Propos n°1 (novembre 1996), "La recherche ou le miroir de l'humanité : du rêve à la réalité"
  • Troisième Millénaire n°16, "science et astrologie, deux lectures d'un même univers".

 

 

Activité professionnelle

Depuis 1990 :

  • Analyse symbolique du sens des Marques en collaboration avec des agences de communication (Contrepoint et CLM/BBDO) en utilisant les outils de l’analyse symbolique : astrologie, mythologie, analyse du nom.
  • Création de l’université du Symbole (1999) afin de proposer au public un cursus où il soit possible d’apprendre et d’utiliser, dans sa vie personnelle et professionnelle, la pensée symbolique.
  • Une série de séminaires sur la mythologie, avec les mythes de Narcisse, Protée, Orphée, Faust, Icare, Prométhée et le Héros.
  • Un séminaire de cinq jours dans le désert tunisien (une fois par an) sur le thème Astronomie et Mythologie. Le soir reconnaissance du ciel des étoiles, le jour analyse symbolique des mythes grecs relatifs à ces constellations.

1988-1991 :

  • Directeur du département Agroalimentaire au Centre de Biophysique de Clermont-Ferrand.

Fabrication, mise au point et décodage des biothésigrammes, application de cette technique comme test de qualité pour les produits agroalimentaires. Organisation et animation de stages, en France et en Italie, de formation à la thésigraphie. Prospection de marchés commerciaux en France et à l'étranger (Maroc, Canada).

1987-1988 :

  • Recherche fondamentale,

San Francisco (U.C.S.F., Californie), " Purification des Inhibiteurs des cystéines protéinases de la peau de rat nouveau né "

 

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